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Missillac chateau de la Bretesche
CHATEAU DE LA BRETESCHE
LA COUR INTERIEURE :
Ancienne résidence de la Baronnerie de la Roche Bernard et ancien foyer du protestantisme, le château de la Bretesche vous charme par sa prestance. Le château ne se visite pas mais il est possible d'accéder à la cour intérieure.
CLOCHER DE ST LYPHARD Ce clocher possède un belvédère d'une hauteur de 50 mètres qui offre un panorama imprenable sur la Brière.
A peine entré dans l'église, c'est au pied des marches de pierre en colimaçon que commence le voyage.
On tourne, on tourne,on tourne encore et puis c'est la première halte, un moment de repos avec les vieux outils des métiers d'autrefois, les photos de jadis, la tourbe de brière, sans oublier ce coq fier et tranquille qui connut ses heures de gloire au sommet du clocher.
Encore un petit bout d'échelle, on frôle nos trois belles rebondies : Céline, Marcelline et Jeanne-marie, puis enfin on touche au ciel ou presque : on a bien mérité la surprise ! De ce seul et unique endroit, passant du pont de St Nazaire à la Collégiale de Guérande, on embrasse toute la région et tout ce marais de légendes qui chaque saison se métamorphose se parant sans cesse de nouvelles couleurs.
Alors on reviendra, peut-être sous une autre saison et le voyage ne sera plus tout à fait le même.
 

La forteresse de Ranrouet était située à une place stratégique et commandait l'entrée de la presqu'île de Guérande pour qui venait de Bretagne.
Un premier château dont il ne reste rien a été édifié au 10 ème siècle. Les imposantes ruines actuelles sont tout ce qui subsiste du château édifié entre le 13 ème et le 15 ème siècle. Il fut démantelé au 17ème siècle. "Une association travaille à sa mise en valeur: travaux de nettoyage, restauration... D'autres associations organisent ou créeent des spectacles(contes, théâtre).
La municipalité gère le site, accueille le public, propose des visites guidées, des ateliers pédagogiques...
Dès la préhistoire, la région fut habitée ainsi que l’attestent des monuments mégalithiques.« Le Fuseau de la Madeleine » est un énorme bloc de 5,65 m de haut. Pour s’y rendre sortir, de PONT-CHATEAU par la route de CROSSAC (D16) prendre une route à droite, qui conduit également à Bodio. Par cette même route (D16), mais en suivant le premier chemin sur la gauche, pendant 3 km, on arrive à la Roche Branlante de Pimpenelle, impressionnant bloc de pierre de 7 m mais dont la circonférence n’excède pas 1 m.
Au XIè siècle, abandonnant le site de l’Ecrin, les sires du Pont facilitèrent la construction de demeures non loin de leur château, sur les bords du Brivet. Les chouans se rendirent maîtres de PONT-CHATEAU, pendant quelque temps, au cours de la « Grande Guerre ». Et pendant les Cent Jours, le marquis de Coislin, chef local de l’insurrection royaliste, y eut son quartier général. Rayonnant avec sa troupe, il eut quelques engagements à Campbon et à Guérande avec des détachements ralliés à Napoléon.
Au XVIIIè siècle, c’est l’épopée du grand missionnaire Grignion de Montfort qui marque pour longtemps le terroir PontChâtelain et environnant : c’est le Calvaire qu’on élève à force de bras et de prières, qu’il faut d’abord démolir par ordre de Louis XIV, mais qui s’est érigé, grâce à la ténacité de nos aïeux.
Durant la Révolution, les PontChâtelains, en habiles commerçants, ne se sont pas mal tirés de l’occupation successive  des bleus et des blancs. Mais ce qui est net, c’est leur attachement aux prêtres traqués, dont plusieurs ont payé de leur vie leur service pastoral.
Le Calvaire
Au XVIIIème siècle, c’est l’épopée du grand missionnaire Grignon de Montfort qui marque pour longtemps le terroir Pont-Châtelain et environnant : c’est le Calvaire qu’on élève à force de bras et de pierres, qu’il faut d’abord démolir par ordre de Louis XIV mais qui s’est érigé, grâce à la ténacité de nos aïeux.
PONT-CHATEAU se trouvait, au moyen-âge, sur l’une des routes de Saint-Jacques de Compostelle.
Une léproserie et une chapelle existaient dans la forêt de la Madeleine, à 500 m environ de la lisière actuelle. Venu prêcher dans la région, Saint-Louis Grignon de Montfort voulut marquer son passage par l’érection d’un Calvaire. Il choisit d’abord le site des ‘Roches- Bises’ à quelques kilomètres au Nord-Ouest du bourg de Campbon. En raison de difficultés avec les Comtes de Coislin, seigneurs du lieu, il dut reporter son choix sur un site au Sud de la forêt de la Madeleine.
L’œuvre commencée en 1709 ne fut terminée que quinze mois plus tard.  Louis XIV, peut-être mal informé, en ordonna la destruction.
Le Calvaire, actuel fut édifié au cours du XIXème siècle. Il comprend un chemin de croix avec personnages : un groupe important rappelle l’Ascension ; des grottes représentant Béthléem, l’Agonie.
De la butte artificielle sur laquelle s’élève le Calvaire proprement dit, on fait un tour d’horizon complet embrasant la Brière, la Bretesche, la forêt du Gâvre et les rives de la Loire. Ce grandiose ensemble est le Calvaire le plus fréquenté de France. Il est complété par une Scala Sancta datant de 1891.
Des célébrations sont organisées tout au long de l'année (lors de la semaine Sainte, à l'Assomption, ...) en présence de nombreux pèlerins.
Guérande en quelques chiffres : * une superficie de 8144 ha - * 32 villages - * 72 hameaux - * 174 190 m² de secteur sauvegardé - * plus de 300 ha boisés - * près de 1000 ha de marais salants - * un peu plus de 16 ha d'étangs - * environ un million de touristes par an .
Cité chérie des ducs de Bretagne, Guérande domine deux pays aux contrastes marqués : le Pays Blanc, celui du sel et des marais salants, et le Pays Noir, celui de la tourbe et du Parc Naturel Régional de Brière.
Ville médiévale fortifiée, Guérande a su séduire d'illustres écrivains, tels Flaubert et surtout Balzac.
chateau d
Ranrouet
Pont Chateau
Saint Gildas des Bois
Abbaye Saint-Gildas des Bois
 
Cette abbaye (Abbatia Sancti Gildasii de Nemore) est fondée en 1020 sur l'initiative de Simon, seigneur de la Roche-Bernard, dans un lieu de son domaine, choisi par lui et nommé Lampridic. Les anciens titres l'appellent encore l'abbaye de la Lande ou la Maison de Saint-Guédas.
 
Saint Gildas des Bois, chef-lieu de canton, a été marqué par l'immigration bretonne puisque le premier nom de la commune fut Lampridic. Les seigneurs de la Roche étendent leur juridiction sur toute la région et Lampridic devient leur domaine. Au début du 11ème siècle, Simon, fils de Bernard de la Roche, décide de fonder en son domaine de Lampridic un monastère en l'honneur de Dieu et du bienheureux abbé Gildas. Lampridic est désormais placé sous la protection de Gildas de Rhuys. Peu à peu, le nom Lampridic disparaît pour céder le pas à son nouveau patron. Primitivement appelée Saint Guedas de landa, la commune prend ensuite l'appelation latine de Nemore, signifiant lande, à cause de sa situation géographique, pour devenir enfin Saint Gildas des Bois.
pays Guerandais
Saint Lyphard
Guerande